Etat d’urgence pour les subsahariens
Après le Maroc et sa gestion musclée des migrants subsahariens (assassinats, déportation dans le désert et expulsion de 3600 personnes), c’est l’Algérie qui a pris le relais.
Etat d’urgence pour les subsahariens
Après le Maroc et sa gestion musclée des migrants subsahariens (assassinats, déportation dans le désert et expulsion de 3600 personnes), c’est l’Algérie qui a pris le relais.
texte de présentation de la carte des camps
Note de travail
Depuis le 29 septembre 2005 au moins 11 morts parmi les migrants qui tentaient de pénétrer dans l’enclave espagnole de Melilla sur le territoire marocain. L’Espagne et le Maroc expulsent, avec la bénédiction de l’Union européenne.
Infos, liens européens, revue de presse.
Les 20 et 21 octobre 2005 à Genève, le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a posé aux autorités italiennes plusieurs questions sur le traitement des migrants et des demandeurs d’asile aux frontières, notamment à l’occasion des arrivées de boat people sur l’île de Lampedusa qui ont donné lieu à de nombreuses réactions depuis un an. C’est le Directeur général de l’immigration et de la Police aux frontières au ministère italien de l’Intérieur, Alessandro Pansa, qui a été chargé de répondre.