du 01/07/12 au 19/07/12
Document attaché.
du 01/07/12 au 19/07/12
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Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH) - Migreurop - Justice sans frontières pour les migrants (JSFM)
À l’issue d’une mission d’enquête qui s’est déroulée en Libye du 7 au 15 juin 2012, nos organisations dressent un constat très inquiétant du traitement infligé aux migrants dans le contexte de confusion qui règne actuellement dans le pays.
Riche de ses ressources pétrolières et peu peuplée, la Libye de Kadhafi recourait massivement à la main d’œuvre étrangère pour faire fonctionner son économie. Plus de six mois après la fin du conflit armé, qui avait provoqué la fuite de centaines de milliers de migrants (...)
Témoignage récolté par téléphone les 13 et 14 juin 2012.
Les détenus du centre d’Otopeni (Roumanie) continuent à appeler le bureau de Migreurop pour faire entendre leur voix. Monsieur A., marié à une roumaine depuis bientôt deux ans, ne comprends pas les raisons de sa détention. Il raconte les conditions de vie dans le centre, son incompréhension et sa révolte.
Témoignage récolté par téléphone les 13 et 14 juin 2012.
La campagne de visites qui vient de s’achever a démontré qu’au-delà des conditions de détention, c’est l’existence des camps où sont enfermés des milliers de migrants qui représente par elle-même une atteinte inacceptable aux droits les plus fondamentaux de la personne humaine : seule leur disparition pourra y mettre un terme. La mobilisation des parlementaires, médias et militants associatifs doit se poursuivre. La campagne « Open Access » est lancée, d’autres actions et visites seront organisées dans (...)
Témoignage des détenus récoltés par téléphone le 11/06/2012
Migreurop a reçu un nouvel appel de détresse de la part de retenus d’un centre de rétention roumain. Il y a quelques mois, le réseau avait déjà été alerté de la situation dramatique des étrangers dans le camp fermé d’Arad, à l’ouest du pays. Aujourd’hui ce sont des retenus du deuxième centre de rétention du pays, celui d’Otopeni, près de Bucarest, qui souhaitent faire entendre leurs cris d’alarme.
« Nous sommes actuellement environ 70 à Otopeni en ce moment. Il ya plein de nationalités différentes.
Les (...)