Le réseau compte sur l’expertise de ses membres (51 associations et 40 membres individuel·le·s), présent·e·s dans 17 pays d’Europe, d’Afrique et du Moyen Orient. Ils et elles mettent leurs différentes compétences au service de Migreurop, se réunissent régulièrement pour échanger et construire une analyse partagée des conséquences des politiques migratoires européennes, et développer ainsi des synergies et stratégies communes de défense des droits fondamentaux des exilé·e·s.
Liste des membres de Migreurop : (...)
2019
articles annee
Publication de la version anglaise de l’Atlas de Migreurop de 2017
"Atlas of Migration in Europe. A critical geography of migration policies"
L’Atlas des migrations en Europe est un atlas engagé qui souligne les incohérences et les conséquences de la gestion des migrations dans l’Union européenne. Pour comprendre l’évolution de la politique migratoire européenne, Migreurop a rassemblé des informations sur une réalité insaisissable, en raison de son ampleur géographique, mais aussi d’une volonté de dissimulation de la part des gouvernements européens.
Les personnes qui fuient la guerre, la pauvreté ou les crises politiques risquent souvent leur (...)Les effets dévastateurs des politiques migratoires européennes
Le réseau Migreurop soutient l’opération Mediteranea contre les effets dévastateurs des politiques migratoires européennes. Depuis 2011, Migreurop participe à la coalition Boats4People et soutient la plateforme Watch the Med, qui visent à promouvoir les droits des migrants en mer, en faisant connaître et en documentant les situations de détresse, attentatoires à leurs droits. Dans la continuité de ce travail de dénonciation, le réseau soutient le projet Mediterranea. Le réseau Mediterranea Saving (...)
En Allemagne, des centres d’accueil de plus en plus fermés
Depuis 2015, la tendance en Allemagne est de normaliser l’ouverture de centres dits de « premier accueil », en regroupant plusieurs administrations sur un même site. Ces centres ont pour but de permettre aux exilé.e.s de clarifier leur situation administrative et de déposer une éventuelle demande d’asile. En théorie, ceux-ci ne doivent pas y rester plus de six mois, et sont ensuite transféré.e vers des Gemeindezentren, des centres d’accueil gérés par les communes, même si l’examen de la demande de (...)